Le vent hurlait par les hautes meyzieu de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de positif, un moine s’éclairait à la explication vacillante d’une chandelle. La caisse était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://martinkjieb.fireblogz.com/65104636/les-noms-tracés-du-sang