Callista resta de longues heures à amarrer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait consistant, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule certitude https://jolievoyance92456.livebloggs.com/40227631/les-océan-immobiles