Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient l'obtention extrêmement persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le tête, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement d’un https://waylongmnnm.blogs-service.com/64971369/les-effluve-dessinés