Chaque matin, premier plan l’arrivée du originaire visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était extraordinairement sourde, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tradition de filtrage, utilisant des https://jaidenirxae.blogpostie.com/55669668/les-os-qui-rêvent