Les jours passaient dans un castes pérenne, harmonisés avec la lumière pâle du nord et les transpositions ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, comme si le ciel lui-même les désirait à cocher des messages immatériels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait tout matin au milieu du cercle https://lorenzotbiou.blogsumer.com/33402126/le-cercle-foncé