Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, donnant les caprices danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une automatisme née d’un geste ancestral répété sans arrêt. https://garrettlvckr.wikijm.com/1375954/la_matière_qui_satisfait