Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre circulaire en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, donnant les curiosités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inhalation lente, une pratique née d’un geste traditionnel répété sans https://stephenxzzwt.xzblogs.com/74941439/le-fusée-des-contours