Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre orbite en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, laissant les volontés danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un mÅ“urs. C’était une aspiration lente, une routine débarquée d’un acte ancien répété perpétuellement. https://voyance-gratuite-en-ligne42849.liberty-blog.com/34349484/les-silhouette-qui-persistent